Environ 3 % des personnes présentent un anévrisme cérébral. Grâce à l’IRM 7 Tesla, nous analysons plus précisément la paroi des vaisseaux pour mieux évaluer le risque de rupture.
L'étude vise à déterminer si les gros fumeurs âgés de 30 à 60 ans sont plus souvent atteints d'anévrismes cérébraux non détectés et si un dépistage peut contribuer à prévenir les hémorragies cérébrales.
Cette étude compare la SCP tonique classique à la SCP Burst afin de déterminer laquelle de ces deux formes de stimulation permet d'obtenir une réduction plus durable de la douleur.
Nous étudions les potentiels évoqués cortico-corticaux (CCEP) lors d'opérations proches des voies langagières afin de mieux identifier les réseaux du langage et d’accroître la sécurité de la résection.
Dans cette étude, nous examinons si la combinaison de l'imagerie de routine et des analyses dites CFD peut aider à détecter précocement un risque accru d'accident vasculaire cérébral.
L'étude vise à déterminer si une ablation précoce, mini-invasive et guidée par imagerie des hémorragies cérébrales améliore les chances de survie et la qualité de vie des patients par rapport au traitement actuel.
Après un diagnostic de tumeur cérébrale, une ablation précise est cruciale. Le projet HORAO développe une nouvelle technologie optique qui permet de mieux distinguer les tissus sains des tissus malades.
Grâce à l'apprentissage automatique, nous visons une analyse plus rapide et précise des signaux neurophysiologiques peropératoires afin de réduire le risque de lésions neurologiques.
Notre projet de recherche étudie comment l’intelligence artificielle peut être utilisée en neurochirurgie pour accélérer l’apprentissage, structurer les connaissances et renforcer l’efficacité de la recherche.
Cette étude vise à améliorer la mesure des potentiels moteurs évoqués transcrâniens (TMEP) pendant la chirurgie cérébrale et à surveiller les mouvements du champ opératoire pour renforcer la sécurité.
Environ 1 à 10 % des patients victimes d'un AVC développent un syndrome douloureux difficile à traiter. Notre étude utilise l'IRM pour comprendre pourquoi ce syndrome ne touche que certains.
L’étude examine quelle composition des dépôts dans l'artère carotide accroît le risque de rupture et donc d’accident vasculaire cérébral. Objectif : détecter tôt les plaques à risque et les traiter de façon ciblée.
Pour réduire les effets secondaires du traitement, la recherche étudie si les opérations de tumeurs cérébrales peuvent se faire sans ou avec très peu de cortisone avant l’intervention.
L'étude vise à déterminer si les patients atteints d'un glioblastome récurrent tirent davantage profit d'une nouvelle intervention chirurgicale ou d'une deuxième chimiothérapie ou radiothérapie.
Un implant à ultrasons ouvre brièvement la barrière hémato-encéphalique pour mieux cibler les cellules tumorales. L’étude examine si cela freine plus efficacement la croissance des glioblastomes récurrents.
Cette étude examine une nouvelle procédure pour les AVC graves. Au lieu de réaliser deux opérations comme auparavant, un bouclier spatial spécial est utilisé pour stabiliser immédiatement le crâne.
Lors d’opérations de tumeurs cérébrales, l’étude compare deux méthodes de surveillance des fonctions motrices pour déterminer laquelle prédit le mieux les paralysies postopératoires.
L’étude examine si la vancomycine en poudre, appliquée sur la plaie chirurgicale, peut prévenir les infections après une opération de la colonne vertébrale. Sa sécurité et sa tolérance sont également évaluées.
L’étude vise à déterminer si la stimulation électrique du bulbe rachidien peut réduire les vasospasmes après une hémorragie cérébrale et ainsi améliorer l’évolution de la maladie.